Éloïse décrit dans son témoignage le réveil de son désir d’allaiter, après une phase d’hésitation, quand elle a mis sa fille aînée au sein, moment appelé la tétée d’accueil.
Quand sa fille avait 10 jours, Éloïse a vécu une collision, prise entre les angoisses provoquées par un reflux gastro-œsophagien intense, et les paroles culpabilisantes d’une puéricultrice. Et ce, à un moment où le psychisme de la jeune maman, face à son premier enfant, est vulnérable à toute parole culpabilisante, car les jeunes mamans doutent de leurs compétences à répondre aux besoins de leur bébé.
Comme me disait mon copain paysan, il est essentiel de “tourner 7 fois la langue dans sa bouche avant de parler”, surtout quand nous sommes soignants, car des paroles malheureuses peuvent avoir des effets dévastateurs.
Dans ces moments délicats, Éloïse a été soutenue par son conjoint, elle a pu ainsi gagner de la confiance en ses compétences maternelles.
Compétences mises à profit à la naissance de Sacha, le deuxième enfant du couple.
Forte de sa première expérience et des savoirs qu’elle a recherchés, elle décrit comment elle a réussi à allaiter Sacha, en toute sérénité, grâce à sa patience et à sa détermination.
Là encore, avec le soutien de son conjoint. Sans oublier leur fille, quand Éloïse va voir si elle dort bien, après avoir allaité Sacha.
Merci Éloïse, d’avoir partagé votre expérience de l’allaitement maternel. Elle peut encourager d’autres mamans à allaiter leur bébé, malgré les obstacles qui peuvent se présenter.
